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La France, une identité démocratique : Les textes fondateurs
05/12/2009 15:18
La France , une identité démocratique : Les textes fondateurs
De Vincent Duclert
Broché: 460 pages
Editeur : Seuil (20 mars 2008)
Collection : H.C. ESSAIS
Langue : Français
ISBN-10: 2020976005
ISBN-13: 978-2020976008
Présentation de l'éditeur
Depuis plusieurs mois, il se dit que l'identité française serait exclusivement nationale. Et depuis le 31 mai 2007, un ministère se consacre à l'Immigration, à l'Intégration, à l'Identité nationale et au Codéveloppement. Pourtant, c'est aussi une identité démocratique que
la France s'est donnée au cours des siècles. Non pas exclusive de la nation, mais la nourrissant de ses valeurs politiques de liberté, de tolérance et de justice. Voici une défense et illustration de la démocratie à la française, qui fait entendre la voix de ceux qui en ont été les inspirateurs ou les maîtres d'œuvre : de Michelet à de Gaulle, d'Olympe de Gouges à Simone Weil, de Victor Hugo à Aragon, de Zola à Éluard, de Péguy à Jean Moulin, de Rousseau à Clemenceau, de Mauriac à Mendès France... Une plongée salutaire dans les textes fondateurs d'une identité aujourd'hui contestée
Biographie de l'auteur
Vincent Duclert est professeur agrégé à l'École des hautes études en sciences sociales. Il a consacré une biographie monumentale au Capitaine Dreyfus (Fayard) et codirigé le Dictionnaire critique de
la République (Flammarion)
Résumé
L’auteur explique les enjeux du débat sur l’identité française avant de présenter des textes qui ont fondé l’identité démocratique française : Michelet, Hugo, Zola, Péguy, De Gaulle, Moulin, Rousseau, Jaurès. Professeur à l’EHESS, V. Duclert entend offrir une réplique au discours ambiant sur l’identité nationale ainsi qu’une défense et illustration de la démocratie.
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Mondialisation : la grande fossoyeuse de l’intérêt général
05/12/2009 07:01
Commerce mondial : un Nobel d’économie prône un protectionnisme "raisonné"
04/12/2009 15h23 GMT - ECONOMIE-COMMERCE-OMC - Nouvelles de France - AFP
PARIS, 4 décembre 2009 (AFP) - Maurice Allais, seul lauréat français du prix Nobel d’économie, prône un "protectionnisme raisonné" dans le commerce mondial et qualifie de "méprise monumentale" la libéralisation des échanges prônée par l’OMC, dans une tribune à paraître samedi dans Marianne.
La dénonciation du protectionnisme est "absurde chaque fois qu’elle est exprimée sans nuances", estime cet ancien membre du CNRS primé en 1988, jugeant qu’il existe des protectionnismes "néfastes tandis que d’autres sont entièrement justifiés".
Si le protectionnisme entre pays à salaires comparables "n’est pas souhaitable en général", celui entre "pays de niveaux de vie très différents est non seulement justifié mais absolument nécessaire", assure M. Allais.
Selon lui, la concurrence n’est ainsi "pas viable" face à des pays où les coûts de fabrication sont bien plus faibles, en Chine, en Inde mais aussi "au sein même de l’Europe".
M. Allais propose un système alternatif : créer des ensembles régionaux plus homogènes, unissant des pays aux conditions sociales similaires, au sein desquels une "saine et réelle" concurrence s’exercerait mais qui pourraient se "protéger de manière raisonnable" contre les coûts de production pratiqués à l’extérieur de ces zones.
"L’absence d’une telle protection apportera (...) la destruction de toutes les industries de l’Europe de l’Ouest et celle des pays développés" et provoquera une croissance "dramatique" du chômage, prédit l’économiste.
Selon lui, Pascal Lamy, directeur général de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), commet "une méprise monumentale" en demandant l’accélération du processus de libéralisation des échanges. "Il faut de toute urgence délocaliser Pascal Lamy", ironise M. Allais.
Les 153 membres de l’OMC, qui étaient réunis cette semaine à Genève, ont réaffirmé leur souhait de conclure en 2010 les négociations dites du cycle de Doha sur la libéralisation des échanges.
Ré-internationalisation contre globalisation
Par Laurent Pinsolle, porte-partole de DLR
Les dix dernières années ont démontré la faillite de la globalisation néolibérale. Pourtant, certains parient que le salut viendra du cadre global. Et si, tout simplement, ce cadre n’était pas adapté à une quelconque expression de l’intérêt général et que seul le cadre national le permettait ?
Quels intérêts sert la globalisation néolibérale ?
Un examen froid de l’évolution des dernières décennies montre qu’il y a deux grands gagnants à la globalisation. Les premiers sont le 1 % des ménages les plus riches, dont les revenus représentent près de 20% des revenus totaux aux Etats-Unis. Plus fort, une étude montre que les revenus des 0.1% des ménages les plus riches y ont progressé quatre fois plus vite que la moyenne (8% du total). Les autres gagnants sont les actionnaires qui extraient une part croissante des richesses.
Certains crient volontiers à une conspiration mondiale qui viserait à asservir 99% de la planète. Je n’y crois pas. Joseph Stiglitz lui-même, pourtant très dur vis-à-vis du FMI, affirme qu’ils agissent en pensant sincèrement servir l’intérêt général. Pour lui, la racine du problème vient du fait de confier des pouvoirs politiques à des non politiques (FMI, banques centrales…). Coupés de la réalité et sans système de pensée alternatif, ils croient réellement que la libéralisation est porteuse de progrès.
La nation, cadre indépassable de l’intérêt général
Frédéric Lordon souligne bien qu’ « en appeler au gouvernement mondial est le plus sûr moyen d’avoir la paix – entendre : pas de gouvernement du tout » et que « la mondialisation a précisément eu pour effet de redéployer les marchés à l’échelle mondiale, c’est-à-dire dans un environnement de faible densité institutionnelle ». En clair, le processus de globalisation est intrinsèquement lié à des politiques d’inspiration néolibérale puisqu’elle organise l’absence de prise du politique.
En fait, de plus en plus d’intellectuels, y compris de gauche, reconnaissent aujourd’hui que seul le cadre national permet une expression de l’intérêt général. Les nations sont elles-mêmes structurellement l’expression d’un bien commun, où une minorité accepte le choix démocratique d’une majorité lors des élections, et où la solidarité entre membres de la communauté nationale s’exprime de multiples manières, notamment à travers le système de sécurité sociale ou les services publics.
Vers une re-internationalisation
Je me permets d’emprunter ce terme à Frédéric Lordon, qui l’utilise dans son dernier livre car il me semble parfaitement résumer ce que nous devons faire pour combattre l’anarchie néolibérale. Le progrès humain doit redevenir le but de nos sociétés au lieu de cette volonté de liberté tellement absolue qu’elle vire à l’anarchie, à la loi du plus fort et donc à un nivellement par le bas salarial, social, environnemental, démocratique et républicain. Au 21ème siècle, plus que jamais, l’homme aura besoin des nations.
Bien sûr, les défenseurs de la globalisation diront que les nations sont responsables des guerres et ferons un parallèle avec l’Albanie. Mais ne sont-ils pas les promoteurs d’une guerre économique de plus en plus violente (délocalisations, crises, suicides) ? Le cadre plus national des politiques des Trente Glorieuses était plus pacifique... Enfin, cela ne signifie pas fermeture à l’autre, bien au contraire. C’est parce que nous serons bien dans notre pays que nous serons d’autant plus ouverts aux autres.
La globalisation néolibérale produit un asservissement des hommes à des dogmes abstraits qui ne profitent qu’à une petite minorité. Le retour aux nations, et aux frontières, est un préalable indispensable pour refaire du progrès humain pour tous l’objectif de nos sociétés. Voilà un vrai débat sur l’idée nationale !
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La marche irrésistible du nouvel ordre mondial : destination Babel
04/12/2009 10:01
Broché: 165 pages
Editeur : François-Xavier de Guibert (29 novembre 2007)
Collection : ESSAI
ISBN-10: 2755401990
ISBN-13: 978-2755401998
Présentation de l'éditeur
Toutes les époques ont leur idéologie. Ence début du XXIe siècle, le seul débris qui surnage après un siècle chaotique et tragique, c'est le mondialisme. Dans l'esprit de ses promoteurs, bien au-delà d'une coopération mondiale nécessaire et légitime, il s'agit d'abattre toutes les cloisons, et d'abord nationales, afin d'aboutir d'emblée à ce fameux village global décrit par le sociologue canadien Herbert Marshall Mcluhan. Comme le dit Guy Sorman : Le monde est ma tribu. Le but est de créer de grands blocs géoéconomiques standardisés européens, nord-américains, sud-américains, asiatiques, etc., au sein desquels les nations seront broyées et dont la réunion constituera l'armature d'une gouvernante mondiale. Comme le rappelle Jacques Attali dans son ouvrage Dictionnaire du XXe siècle : Après la mise en place d'institutions continentales européennes, apparaîtra peut-être l'urgente nécessité d'un gouvernement mondial. Ainsi, ces blocs corsetés par la même idéologie et dont les populations auront été au préalable alignées dans leur structure mentale sur les critères édictés au sommet, accoucheront d'une humanité unie, interchangeable et nomade. Cependant, l'aboutissement de ces ambitions longtemps prophétisées devra passer par des étapes bouleversant les structures politico-économiques des sociétés, qui ne seront pas sans conséquences militaires. Dans ces événements, la vie humaine comptera peu. D'ores et déjà, avec la mort probable de
la Belgique , les réveils régionalistes en Espagne et en Italie, l'Europe de Bruxelles qui a programmé depuis longtemps la mise sous tutelle, sinon la destruction des nations, risque d'être exaucée dans ses entreprises au-delà de ses espérances. De leur côté, à travers le sanglant bourbier irakien, les Etats-Unis préparent activement la recomposition du Moyen-Orient... La tour de Babel tiendra-t-elle ?
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Carton rouge au PS et à l’UMP sur les transports franciliens !
04/12/2009 09:51
NDA a lancé jeudi 3 décembre à Paris, Gare de Lyon, la campagne régionale de DLR pour l'Ile-de-France, en présentant à la presse un tract dénonçant le fiasco du PS et des Verts tout comme l'irréalisme de l'UMP sur la question cruciale des transports, bête noire des habitants de la région parisienne. Ce tract sera largement diffusé d'ici aux fêtes de fin d'année.
Ile-de-France : carton rouge de Dupont-Aignan (DLR) pour les transports
03/12/2009 17h04 GMT - ELECTIONS-RÉGIONALES-PARTIS-DLR - Nouvelles de France - AFP
PARIS, 3 décembre 2009 (AFP) - Le président de Debout la République (DLR), Nicolas Dupont-Aignan, a brandi, jeudi lors du lancement de sa campagne pour les régionales en Ile de France, un tract en forme de "carton rouge" pour les transports, l’axe principal de son programme.
Réuni avec une vingtaine d’élus locaux de son parti, le député de l’Essonne a choisi symboliquement le site de la gare de Lyon à Paris, où circulent également métro et RER, pour se faire le porte-parole des "banlieusards oubliés".
"Nous distribuons un carton rouge au PS et aux Verts pour douze ans d’immobilisme, mais aussi à l’UMP pour son projet délirant du Grand Paris qui ne résout pas les problèmes de transport des franciliens", a dit M. Dupont-Aignan, qui fait le pari de dépasser les 10% au premier tour.
Avec le dixième du budget du Grand Paris, soit deux milliards, ce dernier assure qu’on peut "remettre à neuf tous les RER" et "doubler le nombre de ligne de bus en banlieue".
Face à des "élites déconnectées de la réalité", M. Dupont-Aignan a plaidé pour le "bon sens des élus de terrains", proposant des "petits projets concrets, réalisable plus vite et avec moins d’argent", comme la généralisation de la vidéo-surveillance dans les rames.
Dénonçant la "clique de Sarkozy dans les Hauts-de-Seine", le député, qui a coupé les ponts avec l’UMP en 2007, a assuré que le budget prévu pour l’aménagement de l’avenue de Neuilly-sur-Seine permettrait de "faire sauter une dizaine de bouchons routiers".
Il n’a pas non plus ménagé les Verts, les rendant responsables des "700 kilomètres d’embouteillages quotidiens" pour avoir refusé "par idéologie" tous les projets d’investissements routiers.
Son parti, qui avait obtenu un peu moins de 2% des suffrages lors de son batême du feu lors des européennes de juin, envisage de déposer des listes dans une douzaine de régions.
En Ile-de-France, chacun des 209 candidats s’est engagé à verser 1.000 euros pour financer la campagne. "Nous n’avons pas beaucoup de moyens, mais nous avons des idées", a déclaré M. Dupont-Aignan, avant de regagner en RER sa mairie de Yerres (Essonne).
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M. Cohn-Bendit a-t-il un problème avec la France ?
03/12/2009 15:46
DLR répond à Daniel Cohn-Bendit qui, dans le cadre du débat sur l'identité nationale, croit intelligent et responsable d'amalgamer interrogation sur l'appartenance à la communauté française et nazisme. Mais cette haine de la France ne ressort-elle pas elle-même d'une certaine forme de nationalisme ?
COMMUNIQUE DE PRESSE
Daniel COHN-BENDIT, le dernier nationaliste ?
Daniel COHN-BENDIT vient de livrer une définition insultante de l’appartenance à la communauté française, en assimilant toute forme d’identité nationale, fût-elle républicaine, au « fascisme » et même au « national-socialisme ».
L’auteur de ces propos scandaleux, qui ne se prive pourtant pas de solliciter les suffrages des électeurs français de temps à autre, prouve simplement qu’il ne comprend rien à nos valeurs et à notre histoire.
Au moment où les peuples sont en manque de repères, notamment à cause d’une Europe qui déconstruit les nations sans rien bâtir de sérieux à la place, je l’invite à méditer la définition que faisait Charles de Gaulle du patriotisme : « Le patriotisme, c’est aimer son pays, le nationalisme c’est détester celui des autres. »
Mais à cette aune, Daniel COHN-BENDIT, qui exprime sans complexe sa détestation de la France, ne montre-t-il pas lui-même qu’il est l’un des derniers authentiques nationalistes ?
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du rassemblement gaulliste Debout la République
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